Tombée dans les pommes

Lorsque Quistis se réveilla, elle se trouvait dans une salle exessivement propre. L'infirmerie. Elle comprit aussitôt.

*Rhhaaaa ! Encore un évanouissement*

Cela lui prenait souvent ces temps-ci. Sa santé s'était extrêmement affaiblie depuis son voyage jusqu'à Philosophalia. Heureusement, c'était la première fois qu'elle tombait dans les pommes dans l'école. Elle n'avait pas eu le temps de trouver un medecin, et puis, seule l'idée d'une personne inconnue lui tripoter le corps la faisait frissoner.

*pff, d'ailleurs, ça pue la ventholine dans les cabinets de medecin*

Se donnant intérieurement des coups sur la tête pour sa reflexion aux asthmatiques, elle se demanda où était passée Nivalia Sol-Lek.

*Elle doit me détester. C'est sûr, elle m'aime pas. Et où elle est en plus ?*

Aussitôt après avoir pensé celà, elle vit la jeune fille à la chevelure bleue arriver, l'air apparemment soulagée. et Quistis fut elle aussi soulagée de se savoir apréciée par Nivalia.

Nivalia après avoir attendus un moment dans le parc avait décidé de l'emmener à l'infirmerie, la prenait sous un bras elle la mit par dessus son épaule. Faut pas croire Nivalia peut supporter beaucoup de poids malgré son apparence, que certaine personne pence fragile.

Elle l'avait porter au début avec beaucoup de faciliter, mais plus le temps passer plus Quistis lui avait sembler lourde. Normale c'était la fatigue qui arriver, elle avait du faire une pause dans les couloirs pour éviter de tomber par terre emporter par le poids de Quistis.

Elle fini par arriver a l'infirmerie, fort heureusement la porte était ouverte et non fermer a clef. Elle regarda a l'intérieur mais il ne sembler y avoir personne, elle s'approcha de l'un des lits qui si trouver et déposa délicatement Quistis, en ce relevant elle perdit l'équilibre et ce retrouva par terre. Mais rien de grave c'était juste la fatigue qui avait fait sa, elle ce releva délicatement en faisant attention a son dos qui n'avait pas l'habitude de porter un tel poids aussi longtemps, sa ne voulait pas dire que Quistis était grosse mais juste que un sac dos recouvert de muscle et autre sa pèse quand même bien son poids.

Apres avoir regarder si sa aller bien pour Quisitis elle s'assit sur une chaise qui était un peu loin du lit, bien entendu juste avant elle avait regarder ou était l'infirmier mais il ne sembler y avoir personne et donc elle avait préféré rester en compagnie de la jeune fille encore inconsciente.

Il du ce passer une heur avant que Quistis n'ouvre les yeux, pendant ce temps là Nivalia c'était un peu inquiéter pour elle et une fois de temps en temps elle avait fait les cents pas dans la pièce avant de ce rasoir. Ce fut un soulagement quand elle vit enfin Quistis ouvrie les yeux elle en fut grandement soulager et ce dirigea vers elle, une fois a coter elle dit :

"Alors tu te sens mieux?"

Elle eu un léger sourire comme pour effacer l'inquiétude qui avait du apparaître sur son visage, elle n'aimer pas montrer ses sentiments mais surtout elle ne voulait pas montrer ses faiblesse.

Souriant elle aussi, elle répondit d'un ton joyeux en grimaçant légèrement à cause de son mal de tête :

-Oui merci. Je suis contente que tu me fasse pas la tête. Tu sais, des gens qui m'aurait laissée dans le parc après ce qui c'est passé, c'est facile à trouver.

Elle laissa échapper un rire, mais un rire chaleureux, naturel, et non ce petit rire de star qu'elle avait longtemps cultivé dans l'espoir de se faire véritablement aprécier. À sa grande joie, Nivalia se joignit à elle. Elles passèrent un bon moment, à glousser, à lâcher des idioties, à s'en esclaffer dix secondes après, se raconter des histoires qui leur sont arrivé, des blagues, des livres qu'elles ont lu, des films qu'elles ont vu, et toutes sortes de choses banales, "de filles" disent certains. Comme au bon vieux temps. Le bon vieux temps peut-il se traduire en deux, voir trois heures ?

Après avoir fini de rigoler pendant un moment en ce racontent de petite blague et autre Nivalia ce mit a regarder Quistis, c'était bien la première fois qu'elle ce montrer aussi ouverte avec quelqu'un d'habitude les personnes devaient d'abord briser la glace qu'elle c'était forger autour d'elle et certain s'en son casser les dents. Mais pas Quistis elle a eu de la chance ou peut être que intérieurement Nivalia apprécié beaucoup cette jeune fille, en tout cas c'est une sacret chance qu'elle a car a part sa soeur Vilyana personne n'avait eu droit a sa aussi rapidement.

"Tu sais dans le ranch ou je travail avec mon père adoptif on ne laisse jamais personne tout seul, c'est une règle qu'on a apprise même si tu ne supporte pas une personne il faut toujours l'aider. Et même si au début j'était prête à me montrer froide envers toi après ta petite tirade de tout à l'heur je ne pouvait quand même pas te laisser, mais finalement on peut rester de ... enfin..."

Elle haussât les épaules, elle ne pouvait pas vraiment dire les mots très bonnes amie car elle était incapable de dire sa. Pour elle une bonne amie n'est pas une simple personne avec qui on rigole ou avec on s'entend bien ce n'était pas seulement que sa. Même si tout le monde pence la même chose que Nivalia bien entendu ils avaient plus de facilité à faire confiance en quelqu'un et autre.

"Tu te s'en mieux c'est l'essentielle."

En entendant celà, Quistis rougit et baissa la tête. Il est vrai qu'elle s'était bien emportée tout à l'heure. Leur soudaine complicité sembla balayée par un vent inexistant, remplacée par une gêne silencieuse. Après un bon moment de vide sonore, la jeune fille répondit, une lueur d'espoire tremblante dans la voix :

-Une amie ?

Quistis eut une soudaine envie de pleurer. Elle n'avait jamais eu de véritable ami. Ou peut-être ne s'en souvenait-elle pas ? Elle avait oublié toute son enfance, disparue dans la magie des Gardian Force. Et aujourd'hui, elle pouvait se saisir d'une chance inconcevable, qui ne reviendrait sûrement pas se pointer aux environs. Elle lui lança un regard amical, et continua :

-Moi je voudrai bien. J'ai jamais eu la chance d'en avoir et...

Sans même essayer de s'en empêcher, elle fondit en larmes, inondant les couvertures blanches d'eau salée.

-Tu serais la seule que j'ai jamais eu...dont je me souvienne...

Malgrès la popularité de l'adolescente, sa vie n'avait été qu'une suite de malheurs, teintée de tristesse. Elle était superficielle, avait de faux amis qui profitaient d'elle. Et tous ceux qu'elle aurait aimé avoir près d'elle la fuyaient comme la peste. Quistis en avait donc conclu qu'elle était maudite. Pourtant, nombre de filles de son âge auraient donné beaucoup pour lui ressembler. Et vice-versa.

Quistis ne remarqua pas tout de suite le mouchoir en papier que lui tendait Nivalia. Elle était bien trop occupée à maudir ce passé qui lui appartenait. Comment avait-on pu la fuir et la courtiser aussi souvent au même moment. Et d'ailleurs, avait-elle connut une seule journée ou personne ne la suivait comme un caniche ? Non.

-Non !!!

Elle attrapa rageusement le mouchoir, se moucha dedans avec force, et, bien que protectrice de la faune et la flore, le jeta par la fenêtre du mur qui cotoyait son lit. Puis, suivit un long moment de silence. Enfin, elle murmura un faible...

-Merci.

La jeune femme leva vers Nivalia un regard fiévrieux, maladif, juste avant de s'évanouir à nouveau. Comme d'habitude lorsqu'elle subissait un fort elan d'émotions. Mais cette fois ci, elle avait plutôt l'impression de s'évanouir de bonheur.

Effectivement, Quistis était de santé fragile. Celà se voyait à la rougeur de ses lèvres, qui contrastaient pourtant joliment avec l'étrange pâleur de son visage. Elle était malade.
Léane venait d'arriver, et constata immédiatement l'état de la jeune fille blonde, et aussi que l'autre jolie jeune, à la chevelure de nuit, venait de se reveiller. Cette dernière se frottait les yeux. Mauvais geste.

-Bonjour. Je suis l'infirmière de cet établissement. Comment t'appelles-tu ? Tu es souffrante ? ou tu ne fais que l'accompagner ?

Elle désigna Quistis d'un signe de tête. La personne à qui elle parlait était très jolie. Elle était de taille moyenne, fine, et ses beaux cheveux bleus flottaient derrière elle, libres et fluides. Ses yeux clairs semblaient la transpercer de toutes parts. Léane pensa à son mètre soixante, à ses cheveux en manque de vitalité, et surtout, à son horrible grosse frange qui était trop présente. Elle avait essayé maintes fois de la couper, mais elle repoussait trop vite, et avec plus de cheveux.

Nivalia qui n'était pas encore tout a fait réveiller fut assez surprise de voir une jeune femme dans la pièce, elle ne l'avait pas entendu entrer pourtant, c'était légèrement normale puisqu'elle c'était endormie sans s'en rendre compte. Au début elle ne comprit rien au question que lui poser la jeune femme mais finalement après c'être plus ou moins bien réveiller elle répondit.

"Je m'appel Nivalia Sol-lek et j'ai juste accompagner Quistis a l'infirmerie."

Disant cela elle avait montrer son amie encore évanouit sur le lit, même si le mot accompagner n'était pas tout a fait exacte puisqu'elle l'avait carrément porter. Puis ce disant qu'il fallait dire ce qui c'est passer elle ce mit a dire.

"On était en train de parler dans le parc quand elle c'est sentit mal et qu'elle c'est évanouit la première, j'ai attendus quelque minute puis je l'ai porter sur mon dos jusqu'a l'infirmerie, elle c'était réveiller et on a eu le temps de discuter un peu avant qu'elle ne s'évanouisse a nouveau. J’était en train d'attendre sur la chaise et je me suis un peu assoupit."

Un peu assoupie n'était pas vraiment les mots puisqu'elle c'était carrément écrouler par terre dans son sommeil, Nivalia ce leva ce disant que rester assise par terre n'était pas très confortable.

Léane entendit plusieurs mots qui la firent sursauter.

- Quoi ? Sur ton dos ? Mais, voyons, tu n'est pas un peu frêle pour porter une personne de corpulence plus importante que la tienne ?

Effectivement, Quistis était bien plus grande que Nivalia, d'environ dix centimètres. Et donc, plus lourde. Oh, de seulement un ou deux kilos, mais, par expérience, elle savait que deux kilos pouvaient obliger quelqu'un à porter un corset, et prit un air sévère.

-Tu sais, tu ne devrais pas faire ce genre de choses, surtout si c'est une habitude.

Puis, sur un ton plus doux, elle lui dit :

-Allez, remue ton derrière, il faut que je regarde ce qu'a cette petite. Quel est son nom de famille ?

Elle repoussa Nivalia d'un coup de hanche, et, sans le faire exprès, elle la fit carrément tomber.

-Ooups ! Je suis confuse ! Je voulais pas vous faire mal !

Tout en l'aidant à se relever, elle se dit :

*Cette élève est tellement légère, j'aurai du pousser moins fort.*

Nivalia qui était a présent près de l'infirmière ne put afficher un légère étonnement sur son visage quand elle la réprimanda sur le fait qu'elle l'ait porter sur son, une jeune fille frêle mais elle n'était pas si frêle que sa elle avait déjà porter beaucoup de chose lourde mais c'est vrai qu'a la réflexion elle n'avait jamais porter de personne sauf peut être sa soeur. Cependant elle n'en prit pas ombrage après tout c'était une infirmière c'était donc normale qu'elle s'inquiète de la santé des élèves dont elle avait la charge.

"Trèpe son nom de famille c'est Trèpe."

Elle avait lâcher sa un peu rapidement car elle ne s'attendait pas a ce qu'elle lui demande le nm e famille de Quistis d'ailleurs elle avait faillit l'oublier. Toujours près de l'infirmière elle ne c'était pas attendus a ce que celle-ci la pousse pour ce faire un peu de place ne s'y attendant pas elle était tomber par terre, et elle accepta volontiers l'aide qu'elle lui proposer pour la relever tout en s'esculent de sa maladresse.

"Ce n'est pas grave."

Cependant elle avait comprit la leçon et elle ce tenait éloigner d'elle, c'est pas qu'elle penser que l'infirmière était très maladroite mais elle préféré éviter de tomber par terre parce que c'était pas très agréable pour les fesses.

Juste à ce moment-là, Quistis se réveilla en sursaut. Quel étrange rêve...

-Tatie ! Tatie Edéa !
-Oui, qu'est-ce qu'il y a ma petite chérie ?
-Les autres ils veulent pas jouer avec moi... Ils disent qu'ils veulent pas que je commande...alors que c'est moi qui ai proposé de jouer à Papa et Maman...
Des larmes de colère et de frustration coulaient le long des joues rebondies de la fillette.
-Mais...attends, je vais les voir. Viens avec moi.
La belle jeune femme suit un escalier étroit en colimaçon menant au dehors, accompagnée de la petite fille qui s'accroche à sa longue robe noire. On entend des cris à l'extérieur. En sortant, on peut voir que ce ne sont que des enfants.
-Ouin ! Ouin ! Eh, pourquoi c'est toujours moi le bébé ?
-Parce que c'est comme ça ! T'as qu'à être le premier à vouloir jouer le petit frère ou le papa ! Allez, Zellolouis, bois ton lait !
Un petit garçon enfonce brutalement un biberon imaginaire dans la bouche ouverte et prête à parler du dénommé Zellolouis.
-Allez, avale !
Un autre petit garçon intervient. Il est coiffé d'un chapeau de cow-boy et porte un long manteau marron.
-Voyons fiston ! Ne maltraite pas ton frère !
Cette fois ci, une petite fille arrive à la rescousse
-Ouais, t'as raison chéri ! Squaléon ! Arrête ça tout de suite ! Et en plus, pourquoi t'as frappé Ellonaïs ? C'est ta soeur quand même !
-Bon ça suffit maintenant ! Pourquoi vous ne voulez pas que Quistis joue avec-vous ?

Le rêve s'arrêtait là. Elle ouvrit les yeux, et vit le visage d'une jeune femme habillée d'une blouse blanche.

*Mince, l'infirmière. Je déteste les docteurs.*

À côté se trouvait Nivalia. Enfin un visage familier. Elle soupira longuement, puis se leva brusquement. Et se cogna avec l'infirmière.

*Aille*

La fille nommée Quistis se réveille brutalement, se cognant malheureusement avec le front de Léane.

-Maaaaaiiiiiieeeeeuuuuh ! ça va pas la tête ! ça fait maaaaaaaleuh !

La petite malade s'empourpre et se confond en excuses. Léane se rend compte de son erreur et fait de même. De plus, elle a à présent le front douloureux. Après un moment de silence, elle lit sur le visage de Quistis une certaine perplexité. Une sorte de curiosité cachée. Comme si elle essayait de se rappeler quelque chose. Et Léane se souvient d'une chanson que sa mère lui chantait. Mais celà lui rappelait son enfance et en même temps son étrange réaction face à la mort de sa maman..





Sans s'en rendre compte, elle se mit à chanter la suite, en dodelinant la tête et en fermant les yeux, les traits du visages résoluments doux.

Quistis ouvre des grands yeux. Elle connait cette chanson ! Miss Edéa la chantait !
...Etrange...qui est cette Edéa...Comment a-t-elle fait pour se souvenir du nom de quelqu'un dont elle ne se souvient pas ?
Mais l'apprentie alchimiste ne s'en soucie pas et se contente de roucouler avec l'infirmière.







Elle se tut, laissant Léane seule à pousser la chansonette. Doucement, elle s'écarte, et fait signe à Nivalia de sortir. Elle même esquisse un pas grâcieux pour s'extirper de cette salle. La jeune fille a un peu de mal à se faire comprendre par la soeur Sol-Lek et tend son bras pour montrer la sortie de ses doigts fins. Elle commence à sauter sur place en utilisant ses deux membres superieurs dirigés vers la porte Résignée, les mots " La sortie !!! Tu veux partir ou pas ???!!! " se dessinent silencieusement sur ses lèvres, et Quistis se demande déséspérément si son amie sait lire sur les lèvres...


(La chanson est en fait un zoli poème écrit par Mme Cros, ma chère maîtresse du CM1)

Quand enfin Quistis ce réveilla pour le deuxième Nivalia la regarda d'un air amuser ce prendre l'infirmière en pleine tête et elle ce disait qu'elle éviterait soigneusement de ce retrouver a l'infirmerie, non pas qu'elle avait pas confiance mais c'est juste qu'elle ne l'aimer pas trop. Cependant la jeune fille fut très surprise lorsque que l'infirmière ce mit a chanter et que Quisitis si mette ensuite, cette dernière avait vite arrêter pour faire des signes a Nivalia au début elle ne comprit pas jusqu'a ce qu'elle comprenne en regardent la porte et Quistis qui ce lever.

Silencieusement et sans dire un mot Nivalia ouvrit la porte et attendit que Quistis arrive prête a venir la rattraper si jamais elle s'évanouissait encore une fois. Une fois que Quistis fut a proximité elle murmura pour ne pas déranger le chant.

"Alors tu te s'en mieux? Tes sur que tu ne veux pas rester un peu ici au cas ou?"

Elle attendit patiemment la réponse de Quistis tout en lui tenant la porte.

Enfin Nivalia comprit et s'avança vers la sortie. Quistis, soulagée, la rejoignit en quelques enjambées légères et volantes. Sa copine lui tenait la porte. Elle la remercia et sortit. Nivalia fit de même et les deux jeunes filles marchèrent côte à côte vers la sortie. Etrangement, celle aux cheveux bleus gardait un bras derrière le dos de l'autre. Comme si elle allait glisser et tomber en arrière subitement.

- On va où ? J'aimerai aller dans les dortoirs, j'ai laissé mes valises devant la salle de répartition.

Aussitôt, elle se dirige vers cette salle de répartition, sans même attendre Nivalia et son avis. Cette dernière n'avait pas encore capté.

- Allez, grouille toi !

* Elle est tellement empotée ? *

Quistis, elle était déjà en plein milieu du hall.

*ALLEEEEEEEEZ !*

Léane ouvrit légèrement les yeux ...
Elle se sentait bien ... Chanter était son autre passion, après la garde d'enfants en bas-âges. Elle regarda autour d'elle. Aucune trace des jeunes filles. Trop naïve, elle regarda sous les lits et dans les armoires.

*Est-ce qu'elles sont sorties dans le Hall ?*

Question idiote, vu que la seule sortie débouchait sur le Hall, sauf son bureau, soigneusement fermé à clé. Elle fit le tour du lit, et entra à l'intérieur.
C'était, contrairement à l'infirmerie, une pièce joyeuse. La moquette était blanche et douce, la tapisserie jaune, avec des petits animaux sauvages tout en bas. Il y a avait un grand bureau en bois, et une chaise assortie. Une grande armoire, encore en bois, trônait près de l'entrée, et un petit fauteuil s'affalait à côté, dans le coin. Le coucou n'allait pas tarder à sortir, il était quatre heures moins cinq.
Tranquillement, elle s'étala sur le fauteuil, et sortit son gôuter, rangé dans un tiroir.

zara apres avoir fait unde transmutation a base de sang s'éclata la main et le bras , il alla voir l'infirmiere et dit jais male ! 1 ans plus tard il se retrouva avec un hotomail en or

William lui en voulant esseillier de faire apparaitre un monstre,se coupas le bras,sa transmutation avait marcher...mais son monstre etais...comment dire énerver.Donc il se fesa faire un deuxieme auto mail a l'autre bras.